Mon boss était libertin et j’ai adoré ça – Partie 2

 

Dans l’épisode précédent, la jolie coquine, Pauline, nous raconte comment son boss, Yohann, lui a mis le feu aux poudres lors d’une soirée entre collègues. Si vous avez loupé ça, prenez le temps d’une séance de rattrapage : « Mon boss était libertin et j’ai adoré ça ! » et pour la suite, ça se passe ici.

Une éternité

Une putain d’éternité. C’est le temps que m’a semblé durer la fin de la soirée. Après notre petite séance dans la salle de bain, cette sombre rognure de Yohann m’a tout bonnement ignorée ! J’étais folle ! Comment pouvait-il se comporter de la sorte après m’avoir chauffée comme il l’avait fait ? Ç’en était ridicule ! Et le pire, c’est que plus il m’ignorait, plus le souvenir de sa langue chaude sur mes lèvres humides se faisait cuisant. D’ailleurs, j’en étais encore toute trempe rien qu’à l’idée.

Les invités finirent par tous partir, ce que je redoutais un peu vu le comportement de mon hôte. Si c’était pour passer le reste du week-end à s’éviter ou à partager de grands moments de solitudes, autant partir de suite. Je décidai donc de faire mon paquetage et d’aller dormir à l’hôtel. J’en étais là de mes réflexions quand il entra dans ma chambre.

–  Enlève ta culotte, m’ordonna-t-il.

– Pardon ?

– Je t’ai dit : en-lè-ve ta cu-lo-tte.

– Non mais tu te touches !

– Tu veux me faire croire que tu n’en a pas envie ?

– Dans tes rêves. Si c’est pour me chauffer et ensuite m’ignorer, je préfère encore dormir ailleurs.

Il s’approcha de moi de son pas félin et avant que j’aie pu faire quoique ce soit, glissa sa main contre la dentelle humide de ma culotte. Impossible de tricher. Bien sûr que j’avais envie de lui et il le savait bien.

– Enlève-la, me susurra-t-il à l’oreille.

Cette fois, mue par un indicible instinct, j’obéis.

– Maintenant, mets-toi sur le lit et caresse-toi.

– Non, mais ça va p…

– Caresse-toi je te dis !

Entre gène et excitation, je m’exécutai. Jamais encore, je n’avais fait ça devant quelqu’un. Je me trouvais assez maladroite.

– Si tu veux que je m’occupe de toi, tu as intérêt à faire mieux que ça. Je veux te voir faire comme quand tu es seule.

Je tentai de faire abstraction de sa présence et me concentrai sur mon plaisir, les mouvements de va-et-vient sur mon clito, mes doigts qui s’enfonçaient peu à peu en moi, l’humidité tout autour… Je sentis alors monter comme une vague diffuse, encore lointaine mais pourtant terriblement enivrante… Elle se fit de plus en plus obsédante, j’accompagnai à présent mes doigts de mouvements de hanches, je gémissais doucement…

Yohann, que j’avais alors presque oublié, vint se placer devant moi. Il s’était déshabillé et son sexe semblait dur comme un roc. Il écarta mes cuisses et posa celui-ci contre mes lèvres gonflées. Il commença à me caresser avec, doucement d’abord puis de plus en plus vite. Je sentais sa chaleur contre la mienne. Je n’avais qu’une envie, qu’il fonde en moi, qu’il m’empale, qu’il me baise ! C’est alors qu’il s’interrompit :

– Tu veux que je te prenne, hein ?

J’acquiesçai.

Alors suce-moi. Suce moi comme tu n’as jamais sucé personne et si tu t’appliques, peut-être que je te prendrai.

Quelque peu déstabilisée par cette façon de faire, je m’exécutai néanmoins. Je pris son sexe en main et approchai ma langue que je posai délicatement sur son gland. Je la laissai fondre dessus, comme si je léchai la plus merveilleuse, la plus goûteuse des glaces. Je le sentis avoir un mouvement de surprise. Hé mon gars, c’est peut-être toi qui contrôle le jeu, mais je  ne suis pas une débutante pour autant, me dis-je intérieurement. Je passai, très, très délicatement sur le frein, glissai le long de la hampe puis remontai. Je fis ainsi plusieurs allers-retours avant de le prendre franchement en bouche. Là, tout en laissant mes lèvres glisser contre son sa peau, je continuai de le caresser de ma langue. Je le sentis vibrer, il commençait à gémir.

Je m’interrompis :

– Maintenant, prends-moi ! lui ordonnai-je.

Une lueur amusée dans les yeux, il me contempla puis s’approcha lentement, me retourna et me plaqua contre le lit. D’une main, il écarta mes cuisses et c’est alors, qu’enfin, je sentis son membre, raide, chaud et puissant me pénétrer !

La nuit ne faisait que commencer…

Cet épisode vous a plu ? Ne manquez pas la suite des aventures de Pauline, prochainement sur NousLib !

Photo : pexels

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