Témoignage sexe : j’ai rejoint le club des 10000

Le fameux fantasme du club des 10000, à savoir s’envoyer en l’air dans un avion ! Nous sommes nombreux à l’avoir, mais ce fantasme est pourtant difficile à réaliser. Histoire de nous faire saliver, nous avons parmi nos membres un petit chanceux, Nicolas, qui lui, a décroché sa carte de membre. Il nous raconte tout …

Commençons par une rapide présentation. Nicolas a 34 ans. Il est entré dans le milieu du libertinage il y a 3 ans, après une rupture, et vit maintenant une vie de célibataire libertin bien remplie, en multipliant les expériences et les rencontres. Laissons-lui maintenant la parole.

Mon fantasme : le club des 10000

Je dois vous l’avouer, ce fantasme me trottait dans la tête depuis de nombreuses années. C’est surement un peu cliché, mais le « quickie » improvisé, alors que tous les autres passagers sirotent leur vodka-tomate innocemment sur leur siège, ça m’a toujours terriblement excité. J’ai la chance de pas mal voyager, pour le travail ou de façon personnelle, et à chaque fois que je prends l’avion, j’y pense une bonne partie du vol… Mais je n’avais jamais eu la moindre opportunité de réaliser ce fantasme ! Jusqu’à ce fameux vol, où tout était réuni pour que, enfin, je puisse rejoindre le club des 10000 !

Ce jour-là, j’étais en voyage d’affaires. Avec mon équipe, nous partions à Chicago, pour rencontrer un nouveau client. C’était un contrat important, et nous étions 4 à faire le trajet. Parmi mes collègues, Juliette, une jeune femme arrivée plutôt récemment dans notre entreprise. Nous avions déjà échangé quelques regards lourds de sous-entendus, et un peu flirté à la machine à café. J’avais appris par d’autres membres de l’équipe qu’elle était célibataire, plutôt ouverte à la rencontre, et qu’elle n’avait pas l’air très farouche niveau sexe. Tout ce que j’aime, en sorte…

Le hasard a fait que je me suis retrouvé sur le siège juste à côté d’elle, avec nos deux autres collègues à l’autre bout de l’avion. J’allais pouvoir la draguer à loisir, j’avais un peu plus de 9H seul à seul avec elle, et j’avais envie de m’amuser un peu.

Nous avons donc discuté pendant plusieurs heures, d’abord du travail puis, avec l’aide de l’apéritif et du repas, de choses plus personnelles. Au fur et à mesure de la discussion, je me suis rendu compte que nous accrochions de plus en plus, et que nous nous rapprochions peu à peu… Le reste du vol s’annonçait prometteur !

Quand le fantasme devient réalité !  

A peu près au milieu du vol, les hôtesses ont éteint les lumières, et l’avion est passé en mode nuit. Notre voisin, sur notre rangée de sièges, s’est choisi un film, et s’est calé dans son siège avec ses écouteurs. Il commençait déjà à s’endormir. Moi, je n’avais pas du tout envie de dormir, et surtout, je n’avais pas envie de laisser ma charmante collaboratrice s’endormir ! L’occasion était trop belle. L’obscurité aidant, et sous prétexte de ne pas avoir envie de déranger les autres passagers, je me rapprochais alors d’elle pour continuer notre discussion… en passant très subtilement à un discours beaucoup plus sexy …

Notre voisin s’est effectivement rapidement endormi, et j’ai bien senti que Juliette répondait de plus en plus à mes avances. Il était temps de tenter le coup : mon fantasme était à portée de main ! J’ai commencé à carrément flirter avec elle, en passant mes mains sur ses bras, puis sur ses cuisses, lorsque je lui parlais. Elle était vraiment réceptive, et il n’a pas fallu longtemps pour qu’elle s’aventure aussi à me toucher. D’ailleurs, elle est allée direct vers ma braguette, comme quoi mes collègues ne m’avaient pas menti : elle n’a pas froid aux yeux ! On s’est chauffé comme ça, sous les couvertures minuscules de la compagnie aérienne, pendant quelques minutes, et je dois vous avouer que je bandais déjà comme un malade. J’ai fini par craquer : je lui ai proposé de me rejoindre dans les toilettes, et je me suis levé directement pour m’y rendre. Il ne fallait pas lui laisser trop le temps de réfléchir, et à moi non plus !

Au bout de quelques minutes, qui m’ont paru une éternité, je l’ai entendu frapper à la porte des toilettes. Elle avait sauté le pas ! J’ai ouvert la porte directement, et je l’ai attiré vers moi pour qu’on ne se fasse pas repérer. Les toilettes sont minuscules dans un avion, vous vous imaginez donc bien qu’elle s’est retrouvée collée à moi, sa bouche si près de la mienne, son corps chaud contre le mien. Elle a senti mon pantalon se durcir encore un peu plus, et m’a regardé par en-dessous avec un air coquin. C’était parti !

S’en sont suivi les 10 minutes les plus folles de ma vie ! Sans prendre le temps de nous dire un mot, nous avons commencé à nous embrasser. Elle haletait déjà de plaisir, et j’essayais de la faire taire avec mes baisers, par peur de me faire griller. Elle s’est assise sur le minuscule lavabo, tout en remontant sa jupe. Elle a fait glisser sa culotte le long de ses jambes, et j’ai pu voir son sexe déjà humide, prêt à m’accueillir. Je n’en pouvais plus ! J’ai à peine pris le temps de descendre mon pantalon, je l’ai juste baissé, et, après avoir mis une capote que par bonheur j’avais pensé à mettre dans mon bagage à main, je l’ai prise, un peu brutalement, mais j’étais tellement excité !

Je suis rentré en elle hyper facilement, elle était tellement mouillée ! Je sentais que je pouvais faire des va-et-vient bien vigoureux, elle répondait à mes assauts par des petits cris de plus en plus excités. L’idée de nous faire surprendre par une hôtesse à tout moment ajoutait encore plus à mon excitation, je n’en pouvais plus !

Elle a ouvert le haut de sa robe en défaisant les boutons de son décolleté, ses seins étaient sublimes. Je me suis retiré, juste le temps de la faire descendre du lavabo, et de la retourner dos à moi. Je voulais qu’elle me voit, dans le miroir, la prendre avec force. Je rentrais en elle, par derrière, d’un coup, elle poussa un cri qu’elle n’arriva pas à retenir, moi-même je n’en pouvais plus. Nous étions au bord de la jouissance, et, après quelques va-et-vient, elle eut un orgasme puissant, qui me fit venir à mon tour. Après quelques secondes à reprendre notre souffle, nos regards se sont croisés dans le miroir, et nous éclations de rire. Une partie de sexe de folie !

Je quittais les toilettes rapidement, lui laissant le temps de se refaire une beauté. Lorsqu’elle rejoignit nos sièges, elle était encore toute souriante. Nous avons continué à discuter encore quelques minutes, en riant de notre audace et de notre coup de folie, puis elle finit par s’endormir, et moi aussi.

Le reste de notre séjour ? Vous l’auriez parié, nous avons remis ça pendant toutes la semaine où nous étions à Chicago ! Puis, une fois de retour en France, nous avons continué à échanger régulièrement, et à nous voir de temps en temps. Elle a maintenant quitté l’entreprise, mais, si ça n’avait tenu qu’à moi, je l’aurais gardée dans mon équipe …

Photo : unsplash

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